En Peigne après-midi

Hier au Musée des Arts Décoratifs de Paris, je suis passé à la galerie des bijoux. J’ai vu l’épingle à cheveux Papillon (1906) d’Henri Hamm, le peigne Libellule (1905) en corne, bronze patiné et saphirs de Paul Frédéric Follot, le peigne Ombelles (1903), corne, métal patiné, turquoises d’henry de Waroquier, le peigne Fleurs de prunellier (1904), or, corne, diamants du salon de la société des Artistes Français, le peigne Monnaie du papa (1902), or, corne, l’épingle Fleurs de Pommier (1902), bois, ivoire, or, diamants, l’épingle Sycomore (1906), corne, or, l’épingle Oeillets (1906), or, corne, diamants, émail de Georges Fouquet, le peigne Gui (1900), écaille, or, perles fines, émail de Lucien Gaillarde, le peigne Daphnis et Chloé (1900), ivoire, or, perlefines, émail de Lucien Gaillarde, le peigne Muguet (1900), or corne, émail de Paul et Henry Verver, le peigne Ombelles (1897), argent, corne, mai, de Paul et Henry Verver, le peigne et la broche Parure (1860), or, onyx, agate, écaille, émeraudes de René Lalique, le peigne de Lucien Falize (1880), or, écaille, émaille, les épingles à cheveux de la maison Falize (première moitié du 18ème siècle) mais également, le peigne Roi Mage (1936) pour Elsa Schiaparelli, métal doré et peint, perles de verre, le peigne Champignon (1936) pour Elsa Schiaparelli, métal doré et peint, le peigne Cheval (1936) pour Elsa Schiaparelli, métal doré et peint.
 Dés mon arrivé chez moi, je mets des baguettes chinoises et des choses qui traînaient autour de moi sur mon scan. Je les organisent pour obtenir des peignes et des broches dans l’esprit ressentit à la galerie de bijoux.

 Après avoir exprimé toutes les émotions que j’ai ressenti au musée par cette petite expérience, je dessine deux peignes et deux épingles à cheveux d’après les scan et les photos prisent aux Arts Décoratifs.

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